De manière générale, le stress et l’angoisse facilitent la transmission des messages douloureux. Ils favorisent les états dépressifs et la personne douloureuse, en souffrance, ne peut plus rien entendre des autres. En synergie avec les médicaments, différentes approches non médicamenteuses sont d’un grand secours car elles nourrissent les besoins relationnels qui créent du lien et de la sécurité.

Les personnes âgées en institution, personnes handicapées, personnes à conscience minimale, etc… ont besoin de ne pas se sentir abandonnées à la souffrance. La prise en charge institutionnelle devrait leur permettre de conserver une qualité de vie physique, psychique et relationnelle. 
Différente approches verbales et non verbales vont dans ce sens et permettent de diminuer de beaucoup le stress, les contractures, les tensions physiques et psychiques, les angoisses, les inquiétudes, les pertes de repères et les douleurs qui y sont attachées.